17 octobre 2019
Le livret d’épargne a eu une longue vie. Rappelons-nous le temps où nous fréquentions l’école primaire dans les années 60. Chaque semaine les élèves apportaient une pièce à inscrire sur le livret d’épargne. En fin de mois, le maître d’école apposait un cachet fascinant qui résumait le montant mensuel de notre épargne. C’était un apprentissage à l’épargne !
Aujourd’hui, les temps ont bien changé et nous nous posons la question « comment faire fructifier notre argent ». Le livret d’épargne rebaptisé compte épargne en banque thésaurise cette année 275 milliards d’euros, une première au niveau belge. Ces chiffres, de la BNB, montrent à quel point le belge est confiant de son épargne malgré le fait que l’épargne rapporte sept fois moins qu’il y a cinq ans. Oui, sept fois moins. Les taux de base sont au minimum, 0.01% auxquels on ajoute une prime de fidélité de 0.10%. Mais qu’en est-il chez nos voisins français ? Les français misent sur la sécurité en lieu et place de la rentabilité dans leurs placements. Le montant de leur épargne s’élève à 5001.7 milliards d’euros sur le fameux livret A. 400 milliards d’euros sur des comptes non rémunérés en plus des montants thésaurisés sur le livret A. Dans la loi cadre, Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie, confirme son intention, rendre l’épargne retraite plus flexible et plus attractive. Par exemple, pouvoir retirer en une seule fois les montants de l’épargne retraite. Avec les mesures préconisées par le ministre, l’encours de l’épargne retraite serait fixé à 300 milliards d’euros d’ici la fin du quinquennat. En Suisse, le rendement de l’épargne pousse à des placements plus risqués. Nous sommes cependant les champions de l’épargne puisque celle-ci correspond à 19% des revenus disponibles. Tout comme en Belgique et France, le compte épargne ne rapporte plus rien. Prenons l’exemple d’une personne qui possède 100’000 francs d’économies. Les intérêts bancaires lui rapportent aujourd’hui 0,1%. Mais les frais bancaires lui en coûtent 0,1% en moyenne, selon la banque. Avec l’inflation actuelle, la perte de la valeur de l’argent représente 0,6%. Si l’on ajoute à cela l’impôt sur la fortune moyen en Suisse romande de 0,4%, on arrive à une perte de 1000 francs par année. Sur 10 ans, cela représente donc une perte de 10’000 francs. C’est essentiellement les jeunes +/- 25 ans qui vont investir dans des fonds plus risqués surtout dans le troisième pilier.
Compte tenu du contexte actuel Valcoris conseille de se tourner vers des sociétés de gestion de fortune indépendante afin de définir votre profil d’investisseur. Ceci permettant de développer une stratégie d’investissement sur-mesure et qui vous rapporte encore quelque chose.
Aujourd’hui, les temps ont bien changé et nous nous posons la question « comment faire fructifier notre argent ». Le livret d’épargne rebaptisé compte épargne en banque thésaurise cette année 275 milliards d’euros, une première au niveau belge. Ces chiffres, de la BNB, montrent à quel point le belge est confiant de son épargne malgré le fait que l’épargne rapporte sept fois moins qu’il y a cinq ans. Oui, sept fois moins. Les taux de base sont au minimum, 0.01% auxquels on ajoute une prime de fidélité de 0.10%. Mais qu’en est-il chez nos voisins français ? Les français misent sur la sécurité en lieu et place de la rentabilité dans leurs placements. Le montant de leur épargne s’élève à 5001.7 milliards d’euros sur le fameux livret A. 400 milliards d’euros sur des comptes non rémunérés en plus des montants thésaurisés sur le livret A. Dans la loi cadre, Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie, confirme son intention, rendre l’épargne retraite plus flexible et plus attractive. Par exemple, pouvoir retirer en une seule fois les montants de l’épargne retraite. Avec les mesures préconisées par le ministre, l’encours de l’épargne retraite serait fixé à 300 milliards d’euros d’ici la fin du quinquennat. En Suisse, le rendement de l’épargne pousse à des placements plus risqués. Nous sommes cependant les champions de l’épargne puisque celle-ci correspond à 19% des revenus disponibles. Tout comme en Belgique et France, le compte épargne ne rapporte plus rien. Prenons l’exemple d’une personne qui possède 100’000 francs d’économies. Les intérêts bancaires lui rapportent aujourd’hui 0,1%. Mais les frais bancaires lui en coûtent 0,1% en moyenne, selon la banque. Avec l’inflation actuelle, la perte de la valeur de l’argent représente 0,6%. Si l’on ajoute à cela l’impôt sur la fortune moyen en Suisse romande de 0,4%, on arrive à une perte de 1000 francs par année. Sur 10 ans, cela représente donc une perte de 10’000 francs. C’est essentiellement les jeunes +/- 25 ans qui vont investir dans des fonds plus risqués surtout dans le troisième pilier.
Compte tenu du contexte actuel Valcoris conseille de se tourner vers des sociétés de gestion de fortune indépendante afin de définir votre profil d’investisseur. Ceci permettant de développer une stratégie d’investissement sur-mesure et qui vous rapporte encore quelque chose.